Ce week-end, il y avait plusieurs événements organisés par le « student council » (plus ou moins l'équivalent des BDE chez nous). Je voulais aller à un cours/démonstration de Salsa, mais forcément, ils avaient au moins une demi-heure de retard, et j'avais rendez-vous après, donc c'était raté.
Par contre, le samedi soir, c'était la magistrale soirée d'intégration. Pour ceux qui ont déjà oublié comment c'était quand eux étaient étudiants, en france, le principe, c'est d'avoir beaucoup d'alcool, beaucoup de musique, et d'espérer qu'il y aura beaucoup de joli filles. Là, on retrouve la musique, les lumières. Pour la fumée artificielle, un étudiant passe régulièrement dans la foule avec une sorte de spray à fumée, si si. Par contre, l'alcool, c'est comme beaucoup de choses dans la vie, c'est quand il n'y en a pas qu'on comprend vraiment à quoi ça servait quand il y en avait. Non pas que je trouve que ça soit indispensable pour passer une bonne soirée, mais franchement, agiter son corps au rythme du « boum boum » de la musique (il y avait peut-être autre chose que les basses sur les enregistrement originaux, mais avec la sono de la salle du Gymkhana, ...), c'est vraiment dur en étant sobre (curieusement, à l'inverse, danser une valse ou une masurka avec plus d'une bière dans le ventre relève également de l'exploit au moins en ce qui me concerne).
Bref, malgré une première image pas si différente des soirées étudiantes que je connais, en y regardant de plus près, ça ressemble quand même bien plus aux booms de collégiens ! Sauf que ... bon, dans une boom de collégiens, le but est quand même de faire en sorte que la gente masculine rencontre les participantes du sexe opposé, ou bien l'inverse, je sais plus. Bon, sur ce point, c'est sans surprise, la proportion garçons - filles est de l'ordre de 70 - 30%, si ce n'est 80 - 20%. On voit bien sûr des couples danser corps à corps, mais ... ah, non, on me souffle dans l'oreillette que ça ne sont pas des couples, ce sont des mecs entre eux ;-).
Je ne suis pas resté jusqu'au bout, l'histoire ne dit pas si j'ai raté la longue série de slow romantiques, mais mon petit doigt me dit que non.
Bon, euh, pour ce qui est des soirées dansantes, vivement décembre que je retourne aux bals folks de l'adaep quand même !