30 aoû.
Par Matthieu Moy, à 17:23
29 aoû.
Par Matthieu Moy, à 17:59
Ganesh Festival dans les quartiers ...
Après la pooja du matin, j'ai passé un moment à me balader dans Yeswantpur le dimanche après-midi. Je n'ai pas pu résister à retourner y faire un tour le lundi soir. La ville est parsemée de statues de Ganesh, il y a une ambiance vraiment chouette !
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 1449 lectures
Par Matthieu Moy, à 13:07
Réponse à la devinette ...
Je commence par rappeler l'énoncé : « Que fait un indien quand il se rend compte qu'il y a une souris qui habite dans le lab et qui risque de bouffer tous les cables des ordinateurs ? ».
Je vois que vous commencez à connaitre un peu la culture indienne, puisque personne n'a proposé de la couper en deux à la hache, de lacher un tigre dans le labo, ou de l'abattre à la mittraillette, mais je vous trouve quand même un peu léger sur d'autres aspects de la culture locale.
Bon, le suspens a assez duré. Réponse dans le corps du billet.
Je vois que vous commencez à connaitre un peu la culture indienne, puisque personne n'a proposé de la couper en deux à la hache, de lacher un tigre dans le labo, ou de l'abattre à la mittraillette, mais je vous trouve quand même un peu léger sur d'autres aspects de la culture locale.
Bon, le suspens a assez duré. Réponse dans le corps du billet.
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 1269 lectures
28 aoû.
Par Matthieu Moy, à 12:07
Home pooja pour Ganesh Festival
Dimanche, c'était Ganesh Festival (ouais, vous commencez à le savoir
^_^). Voici la première partie du récit de cette journée de fête à Bangalore.
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 3143 lectures
27 aoû.
Par Matthieu Moy, à 23:59
Ganesh Festival : un aperçu ...
Voilà, Ganesh Festival, c'était aujourd'hui. Il est tard et je n'ai pas le courrage de faire un long billet ce soir, alors pour vous mettre en appétit, je vous donne le programme de la journée sur le Campus :
En tous cas, je peux vous dire que CASL Ganesh a passé une très bonne journée, qui s'est vraiment finie en beauté ! Allez, une petite photo pour vous faire patienter ...
En tous cas, je peux vous dire que CASL Ganesh a passé une très bonne journée, qui s'est vraiment finie en beauté ! Allez, une petite photo pour vous faire patienter ...
Par Matthieu Moy, à 00:31
J-1 !
Et bah, devinez quoi ... il y a encore plus de vendeurs de Ganesh de partout (j'ai bien peur que mon blog non plus n'ai pas résisté aux nombreux assaux de Ganesh), au bord des routes, des magasins en veux-tu en voilà.
26 aoû.
Par Matthieu Moy, à 15:06
Ganesh, toujours Ganesh ...
Un symbole limite indecent s'est caché dans ce poster :
Saurez-vous le trouver ?
Saurez-vous le trouver ?
Par Matthieu Moy, à 01:59
ganesh Festival : J-2
Là, on ne peut plus ignorer que Ganesh Festival, c'est après-demain. La semaine dernière, à Yeswantpur, il y avait un petit magasin avec pleins de Ganesh. C'est celui que j'ai pris en photos. Ce soir, la moitié des emplacements du marché étaient pris par des étalages de Ganesh.
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 1414 lectures
24 aoû.
Par Matthieu Moy, à 18:29
Ganesh et sa petite souris
(En réponse à la précédente devinette sur Ganesh)
Comme l'a si bien fait remarquer Mlle Watson, « la petite souris s'appelle Mûshika. C'est le vâhana de Ganesh ». Bon, soit, mais c'est quoi un Vâhana ??
Commençons par le commencement. Dans la mythologie indienne, les dieux ne sont pas juste assis dans un coin à regarder le monde. Ils font pleins de choses les dieux. Ils se battent contre des démons, ils dansent, ils ont même des enfants. Tout ça est raconté dans le Ramayana et Mahâbhârata, qui sont plus ou moins l'équivalent de l'Illyade et de l'Odyssée pour l'hindouisme. Et pour faire tout ça, il faut bien un moyen de transport. Par exemple, Shiva se déplace sur un taureau, le « nandini » (qui est aussi une marque de produits laitiers ici), mais il se promène aussi parfois sur un éléphant :
(à noter qu'ici, l'éléphant fait un peu la grimace, parce que normalement, c'est celui de Shiva, et que là, Shiva a gentilement invité sa femme Pârvatî et qu'à deux, ça fait un peu lourd, même si Pârvatî fait tout son possible pour léviter).
La petite souris, c'est donc simplement le véhicule de Ganesh. Bah oui, je vois vraiment pas ce qui vous étonne !
Comme l'a si bien fait remarquer Mlle Watson, « la petite souris s'appelle Mûshika. C'est le vâhana de Ganesh ». Bon, soit, mais c'est quoi un Vâhana ??
Commençons par le commencement. Dans la mythologie indienne, les dieux ne sont pas juste assis dans un coin à regarder le monde. Ils font pleins de choses les dieux. Ils se battent contre des démons, ils dansent, ils ont même des enfants. Tout ça est raconté dans le Ramayana et Mahâbhârata, qui sont plus ou moins l'équivalent de l'Illyade et de l'Odyssée pour l'hindouisme. Et pour faire tout ça, il faut bien un moyen de transport. Par exemple, Shiva se déplace sur un taureau, le « nandini » (qui est aussi une marque de produits laitiers ici), mais il se promène aussi parfois sur un éléphant :
(à noter qu'ici, l'éléphant fait un peu la grimace, parce que normalement, c'est celui de Shiva, et que là, Shiva a gentilement invité sa femme Pârvatî et qu'à deux, ça fait un peu lourd, même si Pârvatî fait tout son possible pour léviter).
La petite souris, c'est donc simplement le véhicule de Ganesh. Bah oui, je vois vraiment pas ce qui vous étonne !
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 2211 lectures
23 aoû.
Par Matthieu Moy, à 19:37
Devinette
Que fait un indien quand il se rend compte qu'il y a une souris qui habite dans le lab et qui risque de bouffer tous les cables des ordinateurs ?
(elle m'a déjà bouffé mon capuchon de stylo, c'est un scandale !)
(elle m'a déjà bouffé mon capuchon de stylo, c'est un scandale !)
21 aoû.
Par Matthieu Moy, à 20:48
Vidéos de Top-Slip (bis)
J'avais cru bon de ré-encoder mes vidéos en divx pour vous économiser de la bande passante, mais visiblement, certains ont du mal à les lire.
Revoici donc les vidéos de Top-Slip, au format MPEG :
Sangsue (5,2Mo)
Éléphant qui marche (6,8Mo)
Toilette d'éléphant (3,4Mo)
Sangsue (5,2Mo)Éléphant qui marche (6,8Mo)Toilette d'éléphant (3,4Mo)Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 1199 lectures
Par Matthieu Moy, à 19:01
Collection d'échafaudages ...
J'ai complété ma collection de photos d'échafaudages indiens !
(celui-là est sur le campus)
(et celui-là est un peu plus loin)
Je vous laisse admirer le bouquet final :
(12 Mo)
Y'en a qu'ont vraiment pas le vertige ...
(celui-là est sur le campus)
(et celui-là est un peu plus loin)
Je vous laisse admirer le bouquet final :
(12 Mo)Y'en a qu'ont vraiment pas le vertige ...
20 aoû.
Par Matthieu Moy, à 19:14
Histoires de clés
Vous vous souvenez sûrement de ma première expérience de copie de clé, un peu artisanale. Si vous êtes curieux, vous n'êtes déjà pas très rassurés par la fiabilité des serrures indiennes.
Voilà mon problème : j'ai un vélo, j'ai perdu la clé (enfin, je veux dire, c'est la troisième fois que je perd ma clé et je n'avais fait que deux doubles. Les vélos d'ici ont en général un antivol intégré, qui ne reste ouvert que si on laisse la clé dedans, résultat, soit on se ballade avec la totalité du porte clé qui brandouille et on risque de tout perdre, soit on a une clé qui se ballade toute seule). Je n'avais pas encore eu le temps de m'en occuper, mais j'avais prévu un plan en plusieurs étapes : 1) passer devant le garde à la sortie et lui expliquer que si, si, c'est bien mon vélo et que je ne suis pas un voleur, tout en portant mon vélo, 2) apporter mon vélo au vendeur de vélo pour qu'il scie l'antivol et qu'il en mette un neuf.
Et voilà qu'en discutant avec mes nouveaux voisins allemands, ils m'expliquent qu'ils ont eu un problème un peu plus embêtant : ils se sont enfermés en dehors de leur appart. Mais pas de panique, les copieurs de clés de Yeswantpur se déplacent à domicile, et vous font des duplicata, même si vous n'avez pas l'original. Je décide dont de tenter ma chance en apportant mon vélo là bas. L'efficacité légendaire des gardes du campus me permet de passer sans même avoir à m'expliquer, avec juste un sourire et un dodinement de la tête (en réalité, derrière des apparences plus ou moins militaires, les gardes sont à mon avis surtout là pour empêcher les mendiants de rentrer).
Je peux donc vérifier les affirmations de mes voisins. La serrure de mon vélo étant particulièrement merdique, il aura fallu pas moins de 6 minutes 30 (montre en main, si si, je suis curieux !) à un gamin d'une douzaine d'années pour me refaire une clé. Le principe est simple : les clés sont de toutes façons faites d'un métal assez mou, donc on rentre la clé dans la serrure, on bourrine, et on lime là où ça laisse des marques. Comme chez le dentiste.
A noter qu'une fois le premier « original » reconstitué, la tâche qui aurait du être plus facile s'est plutôt compliquée, puisqu'au bout de quelques minutes, mon serrurier jette négligemment sa première tentative sur l'établi et repart d'une clé vierge. Comme quoi, on se demande vraiment pourquoi on s'embête à emmener l'original pour se faire faire un double !
Voilà mon problème : j'ai un vélo, j'ai perdu la clé (enfin, je veux dire, c'est la troisième fois que je perd ma clé et je n'avais fait que deux doubles. Les vélos d'ici ont en général un antivol intégré, qui ne reste ouvert que si on laisse la clé dedans, résultat, soit on se ballade avec la totalité du porte clé qui brandouille et on risque de tout perdre, soit on a une clé qui se ballade toute seule). Je n'avais pas encore eu le temps de m'en occuper, mais j'avais prévu un plan en plusieurs étapes : 1) passer devant le garde à la sortie et lui expliquer que si, si, c'est bien mon vélo et que je ne suis pas un voleur, tout en portant mon vélo, 2) apporter mon vélo au vendeur de vélo pour qu'il scie l'antivol et qu'il en mette un neuf.
Et voilà qu'en discutant avec mes nouveaux voisins allemands, ils m'expliquent qu'ils ont eu un problème un peu plus embêtant : ils se sont enfermés en dehors de leur appart. Mais pas de panique, les copieurs de clés de Yeswantpur se déplacent à domicile, et vous font des duplicata, même si vous n'avez pas l'original. Je décide dont de tenter ma chance en apportant mon vélo là bas. L'efficacité légendaire des gardes du campus me permet de passer sans même avoir à m'expliquer, avec juste un sourire et un dodinement de la tête (en réalité, derrière des apparences plus ou moins militaires, les gardes sont à mon avis surtout là pour empêcher les mendiants de rentrer).
Je peux donc vérifier les affirmations de mes voisins. La serrure de mon vélo étant particulièrement merdique, il aura fallu pas moins de 6 minutes 30 (montre en main, si si, je suis curieux !) à un gamin d'une douzaine d'années pour me refaire une clé. Le principe est simple : les clés sont de toutes façons faites d'un métal assez mou, donc on rentre la clé dans la serrure, on bourrine, et on lime là où ça laisse des marques. Comme chez le dentiste.
A noter qu'une fois le premier « original » reconstitué, la tâche qui aurait du être plus facile s'est plutôt compliquée, puisqu'au bout de quelques minutes, mon serrurier jette négligemment sa première tentative sur l'établi et repart d'une clé vierge. Comme quoi, on se demande vraiment pourquoi on s'embête à emmener l'original pour se faire faire un double !
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 959 lectures
19 aoû.
Par Matthieu Moy, à 23:40
15 Août : Independance Day !
15 Août 1947, après des années de lutte, en partie grace au mouvement de non-violence active mené par Gandhi, et suite à un certain nombre de massacres sans pitié, l'Inde obtient son indépendance et devient un pays à part entière, qui se séparera un peu plus tard dans de nouveaux bains de sang pour donner naissance au Pakistan et à l'Inde que nous connaissons aujourd'hui.
59 ans plus tard, ce jour est toujours la fête nationale de l'Inde, bien sûr. Beaucoup d'indiens m'ont demandé quand était la fête de l'indépendance en France. Bon, disons que chez nous, c'est un peu comme le 14 juillet, sauf qu'en Inde, quand on célèbre quelque chose, on se contente rarement d'une demi-heure de feu d'artifice. En bref, c'est quelque chose !
59 ans plus tard, ce jour est toujours la fête nationale de l'Inde, bien sûr. Beaucoup d'indiens m'ont demandé quand était la fête de l'indépendance en France. Bon, disons que chez nous, c'est un peu comme le 14 juillet, sauf qu'en Inde, quand on célèbre quelque chose, on se contente rarement d'une demi-heure de feu d'artifice. En bref, c'est quelque chose !
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 2830 lectures
17 aoû.
Par Matthieu Moy, à 17:16
Demain ...
Je vais visiter Belur et Halebid. Bon, c'est vendredi seulement, je suis censé bosser, mais y'a un visiteur, un américain, et il veut aller là-bas, alors on ira ensembles. C'est un dénomé Richard Stallman, chais pas si y'en a qui connaissent ...
16 aoû.
Par Matthieu Moy, à 18:40
Le TMC n'est plus ce qu'il était !
Moment émotion pour les quelques anciens du campus qui me lisent encore.
Le TMC, alias Tata Memorial Club Canteen (je précise les initiales, parce que j'ai dit pendant 6 mois TMC sans savoir ce que ça voulait dire !) déménage. Avant, c'était un endroit en plein air, avec une salle couverte pour quand il pleut. On prenait à manger soit au comptoir d'en haut, un thali (littéralement, « assiette » en Hindi), soit des rotis (galettes de blé) et curry (« curry » voulant dire « plat en sauce », quel qu'il soit) en bas, et on mangeait sous un parasol, lui même couvert par un énorme arbre sur lequel gambadent des écureuils. Un jour, j'ai vu un type laisser son thali seul 5 minutes, et se faire piquer un puri (encore une galette de blé, mais frite) ... par un rapace qui n'a pas demandé son reste et qui est allé déguster tranquillement sa proie un peu plus loin. Bref, c'était sympa quoi.
Il y a des projets de construction de je-ne-sais-quoi à cet endroit, et du coup, le TMC change de lieu. Le nouveau, pour donner une idée de la poésie de l'endroit, c'est un ancien mess. Entre Varsha Travels et le Hostel Office, à un endroit où personne n'aurait pu soupçonner qu'il y avait quoi que ce soit, une salle toute moche, et c'est là.
Bon, pour finir sur une note positive, ils ont planté une pousse de bananier devant l'entrée.
Le TMC, alias Tata Memorial Club Canteen (je précise les initiales, parce que j'ai dit pendant 6 mois TMC sans savoir ce que ça voulait dire !) déménage. Avant, c'était un endroit en plein air, avec une salle couverte pour quand il pleut. On prenait à manger soit au comptoir d'en haut, un thali (littéralement, « assiette » en Hindi), soit des rotis (galettes de blé) et curry (« curry » voulant dire « plat en sauce », quel qu'il soit) en bas, et on mangeait sous un parasol, lui même couvert par un énorme arbre sur lequel gambadent des écureuils. Un jour, j'ai vu un type laisser son thali seul 5 minutes, et se faire piquer un puri (encore une galette de blé, mais frite) ... par un rapace qui n'a pas demandé son reste et qui est allé déguster tranquillement sa proie un peu plus loin. Bref, c'était sympa quoi.
Il y a des projets de construction de je-ne-sais-quoi à cet endroit, et du coup, le TMC change de lieu. Le nouveau, pour donner une idée de la poésie de l'endroit, c'est un ancien mess. Entre Varsha Travels et le Hostel Office, à un endroit où personne n'aurait pu soupçonner qu'il y avait quoi que ce soit, une salle toute moche, et c'est là.
Bon, pour finir sur une note positive, ils ont planté une pousse de bananier devant l'entrée.
15 aoû.
Par Matthieu Moy, à 21:58
Ganesh Festival approche !
Le 27 Août, c'est Ganesh Festival. C'était un des moments forts de mon premier voyage à Bangalore, il y a 5 ans déjà. Pour ceux à qui je ne l'ai pas encore raconté, je garde un peu de suspens, mais je vous donne déjà une idée de ce qui ce passe pour cette occasion...
Par Matthieu Moy, à 01:32
Solution (mais vous l'avez même pas méritée d'abord !)
Bon, vu la participation phénoménale à la devinette sur le langage des signes indien, vous avez bien mérité un mois de retard comme punition.
Rappelons l'énoncé, il fallait me dire ce que signifie ceci :
Hmm, comment traduire ça... La traduction littérale en anglo-hindi serait « number one », par opposition à « number two ». Et en effet, ça permet d'économiser une ou deux roupies, car dans les toilettes publiques qui sont en générale payantes en Inde, un « number one » coûte moins cher qu'un « number two ». D'où le monsieur ou la madame pipi qui vous demande parfois à l'entrée « What ? » d'un ton insistant et énigmatique (immédiatement suivi dans l'esprit du débutant d'un « Ben quoi, si je suis là, c'est pas pour prendre un café ou jouer à la belotte ! »)
Rappelons l'énoncé, il fallait me dire ce que signifie ceci :
Hmm, comment traduire ça... La traduction littérale en anglo-hindi serait « number one », par opposition à « number two ». Et en effet, ça permet d'économiser une ou deux roupies, car dans les toilettes publiques qui sont en générale payantes en Inde, un « number one » coûte moins cher qu'un « number two ». D'où le monsieur ou la madame pipi qui vous demande parfois à l'entrée « What ? » d'un ton insistant et énigmatique (immédiatement suivi dans l'esprit du débutant d'un « Ben quoi, si je suis là, c'est pas pour prendre un café ou jouer à la belotte ! »)
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 1423 lectures
14 aoû.
Par Matthieu Moy, à 12:00
Photos de Top-Slip
Avec un peu de retard, voici les photos de Top-Slip :
http://matthieu.moy.free.fr/Top-slip/
Maintenant, un petit jeu : deux photos du campus se sont discrètement glissées dans cet album. Saurez-vous les trouver ?
http://matthieu.moy.free.fr/Top-slip/
Maintenant, un petit jeu : deux photos du campus se sont discrètement glissées dans cet album. Saurez-vous les trouver ?
12 aoû.
Par Matthieu Moy, à 23:35
Soirée d'intégration
Ce week-end, il y avait plusieurs événements organisés par le « student council » (plus ou moins l'équivalent des BDE chez nous). Je voulais aller à un cours/démonstration de Salsa, mais forcément, ils avaient au moins une demi-heure de retard, et j'avais rendez-vous après, donc c'était raté.
Par contre, le samedi soir, c'était la magistrale soirée d'intégration. Pour ceux qui ont déjà oublié comment c'était quand eux étaient étudiants, en france, le principe, c'est d'avoir beaucoup d'alcool, beaucoup de musique, et d'espérer qu'il y aura beaucoup de joli filles. Là, on retrouve la musique, les lumières. Pour la fumée artificielle, un étudiant passe régulièrement dans la foule avec une sorte de spray à fumée, si si. Par contre, l'alcool, c'est comme beaucoup de choses dans la vie, c'est quand il n'y en a pas qu'on comprend vraiment à quoi ça servait quand il y en avait. Non pas que je trouve que ça soit indispensable pour passer une bonne soirée, mais franchement, agiter son corps au rythme du « boum boum » de la musique (il y avait peut-être autre chose que les basses sur les enregistrement originaux, mais avec la sono de la salle du Gymkhana, ...), c'est vraiment dur en étant sobre (curieusement, à l'inverse, danser une valse ou une masurka avec plus d'une bière dans le ventre relève également de l'exploit au moins en ce qui me concerne).
Bref, malgré une première image pas si différente des soirées étudiantes que je connais, en y regardant de plus près, ça ressemble quand même bien plus aux booms de collégiens ! Sauf que ... bon, dans une boom de collégiens, le but est quand même de faire en sorte que la gente masculine rencontre les participantes du sexe opposé, ou bien l'inverse, je sais plus. Bon, sur ce point, c'est sans surprise, la proportion garçons - filles est de l'ordre de 70 - 30%, si ce n'est 80 - 20%. On voit bien sûr des couples danser corps à corps, mais ... ah, non, on me souffle dans l'oreillette que ça ne sont pas des couples, ce sont des mecs entre eux ;-).
Je ne suis pas resté jusqu'au bout, l'histoire ne dit pas si j'ai raté la longue série de slow romantiques, mais mon petit doigt me dit que non.
Bon, euh, pour ce qui est des soirées dansantes, vivement décembre que je retourne aux bals folks de l'adaep quand même !
Par contre, le samedi soir, c'était la magistrale soirée d'intégration. Pour ceux qui ont déjà oublié comment c'était quand eux étaient étudiants, en france, le principe, c'est d'avoir beaucoup d'alcool, beaucoup de musique, et d'espérer qu'il y aura beaucoup de joli filles. Là, on retrouve la musique, les lumières. Pour la fumée artificielle, un étudiant passe régulièrement dans la foule avec une sorte de spray à fumée, si si. Par contre, l'alcool, c'est comme beaucoup de choses dans la vie, c'est quand il n'y en a pas qu'on comprend vraiment à quoi ça servait quand il y en avait. Non pas que je trouve que ça soit indispensable pour passer une bonne soirée, mais franchement, agiter son corps au rythme du « boum boum » de la musique (il y avait peut-être autre chose que les basses sur les enregistrement originaux, mais avec la sono de la salle du Gymkhana, ...), c'est vraiment dur en étant sobre (curieusement, à l'inverse, danser une valse ou une masurka avec plus d'une bière dans le ventre relève également de l'exploit au moins en ce qui me concerne).
Bref, malgré une première image pas si différente des soirées étudiantes que je connais, en y regardant de plus près, ça ressemble quand même bien plus aux booms de collégiens ! Sauf que ... bon, dans une boom de collégiens, le but est quand même de faire en sorte que la gente masculine rencontre les participantes du sexe opposé, ou bien l'inverse, je sais plus. Bon, sur ce point, c'est sans surprise, la proportion garçons - filles est de l'ordre de 70 - 30%, si ce n'est 80 - 20%. On voit bien sûr des couples danser corps à corps, mais ... ah, non, on me souffle dans l'oreillette que ça ne sont pas des couples, ce sont des mecs entre eux ;-).
Je ne suis pas resté jusqu'au bout, l'histoire ne dit pas si j'ai raté la longue série de slow romantiques, mais mon petit doigt me dit que non.
Bon, euh, pour ce qui est des soirées dansantes, vivement décembre que je retourne aux bals folks de l'adaep quand même !
10 aoû.
Par Matthieu Moy, à 15:25
Problème technique
Pour info : mon adresse email Matthieu.Moy@imag.fr est cassée. Le serveur est en panne et le sysadmin est en vacances :-\. Pendant les quelques jours qui viennent, si vous voulez me contacter, utilisez l'adresse suivante à la place :
Matthieu.Moy@gmail.com
Mise à jour : Ça a l'air de remarcher, mais dieu seul sait pour combien de temps, les serveurs de Verimag semblant être gérés avec un amateurisme certain en attendant le retour de l'admin (« et si on appuie sur ce bouton, tu crois que ça fait quoi ? ») ;-).
Matthieu.Moy@gmail.com
Mise à jour : Ça a l'air de remarcher, mais dieu seul sait pour combien de temps, les serveurs de Verimag semblant être gérés avec un amateurisme certain en attendant le retour de l'admin (« et si on appuie sur ce bouton, tu crois que ça fait quoi ? ») ;-).
09 aoû.
Par Matthieu Moy, à 21:37
Top-Slip : un Week-End vraiment sauvage !
Il y a quelques semaines, mon voisin m'avait proposé de m'emener chez lui, dans le Tamil Nadou (état du sud de l'Inde), et d'inviter également d'autres français du campus. Finalement, on change la destination, et partons pour un week-end à Top-Slip, une sorte de centre d'observation de la nature perdue entre le Tamil Nadou et le Kerala, avec Martin, avec qui j'avais déjà passé un week-end à Madikeri.
Mise à jour : les liens vers les vidéos étaient cassés, mais c'est réparé.
Mise à jour : les liens vers les vidéos étaient cassés, mais c'est réparé.
07 aoû.
Par Matthieu Moy, à 14:44
Erratum
J'avais dit dans un précédent billet que le Leela Palace était le plus cher de Bangalore. En fait, non, le Windsor Manor est plus cher.
Mais il est pas mauvais non plus.
Mais il est pas mauvais non plus.
06 aoû.
Par Matthieu Moy, à 10:44
Ça me poursuit, ça me poursuit ...
Des fois, quand je parle de trucs administratifs lourds, je finis par me demander si c'est l'administration indienne, ou si c'est juste moi qui ai la poisse.
05 aoû.
Par Matthieu Moy, à 14:41
Mon retour ...
- Bonjour, Matthieu Moy à l'appareil. Je vous ai appelé il y a quelques jours à propos de ma demande de report de prise de fonctionBon, c'est pas très ferme comme « oui », et j'aurais préféré un truc un peu plus écrit qu'un « euh oui, c'est bon y'a pas de problème » au téléphone, mais ça veut dire que je peux rester à Bangalore jusqu'à fin Novembre. Mon poste de l'année prochaine commencera le 1er décembre.
- Matthieu Moy ... Ah, oui, c'est bon, j'ai bien reçu vos papiers !
- Et savez-vous à quelle date je pourrais avoir une réponse ?
- ... Euh, une réponse pour quoi ?
- Bah, pour ma demande de report de prise de fonction, c'est pour ça que je vous appelle.
- ... Euh, attendez, je vais voir avec mes collègues.
...
Oui, bah, euh, y'a pas de problème, pourquoi ?.
- Ça veut dire que ma demande est acceptée ?
- Oui oui, c'est bon.
Youpi !
Par Matthieu Moy, à 13:30
Mumbai : visite professionnelle, et visite tout court !
Après une nuit dans le train en provenance de Madgaon (Goa), j'arrive au petit matin à Mumbai. Comme expliqué dans un précédent billet, je prend le train local pour traverser la ville, un peu étonné que ça ne soit pas plus le bazar une semaine après les attentats. Négociations fermes avec les taxis (pas de rickshaaw dans le sud de Mumbai, ils sont interdits soi-disant pour réduire les embouteillages et le bruit, m'enfin je comprends pas bien en quoi les gros taxis sont mieux à ce niveau là), et me voilà au TIFR, ou Tata Institute for Fundamental Research. Paritosh, le scientifique que je viens voir, a tout préparé, la guest house m'attend. L'institut est assez différent de celui de Bangalore, mais très agréable aussi.
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 3070 lectures
04 aoû.
Par Matthieu Moy, à 12:24
Un petit jeu de piste administratif
Ça faisait longtemps que je n'avais pas eu d'ennuis administratifs. Bon, il y a bien eu la facture d'electricité que je n'avais pas reçu le mois dernier (ici, d'abord on coupe le courant, et après, on discute. Pas de relances intermédiaires !), mais ça commençait prèsque à me manquer.
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 1233 lectures
02 aoû.
Par Matthieu Moy, à 08:49
Goa
Sur la route de Mumbai, quelques jours passés à Goa, ancien canton portugais sur la côte ouest.
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 4187 lectures
01 aoû.
Par Matthieu Moy, à 11:53
Sont fous ces indiens (bis) ...
Samedi après-midi, je passe un moment au lab avant de partir pour Mumbai. Deux jeunes indiens (inconnus) entrent dans le lab...
[indiens] Bonjour,Scandaleux, ils finissent le boulot à 7h le soir seulement, forcément, ils s'ennuient, faut qu'ils trouvent à s'occuper ... ;-).
[moi] Bonjour,
[indiens] Vous êtes professeur ici ?
[moi] Plus ou moins. Post-doc.
[indiens] On serait intéressé par un travail sur les systèmes embarqués.
[moi] Vous suivez le cours qu'on donne le mois prochain ?
[indiens] Euh, non. On travaille chez TI, et on voudrait faire un projet ici en plus le week-end et le soir.
Faîtes un commentaire :: Faîtes un trackback :: 845 lectures
