09 fév.
Par Matthieu Moy, à 20:33
Le monocycle comme outil de sociabilisation !
Décidément, je ne regrette pas d'avoir emporté mon monocycle !
Il a beaucoup amusé les enfants de Gopi, mais croyez moi, ça ne sont pas les seuls. Quand je me ballade en mono dans le campus, il ne passe pas 10 minutes sans que quelqu'un m'aborde d'un air curieux. En France, c'est systématiquement la blague de « Hé, il te manque une roue » (ou alors sa copine « T'as perdu ton guidon ! »). Ici, les gens me demandent tous où est le frein. Preuve irréfutable de la différence culturelle entre la France et l'Inde.
Les Indiens sont en général d'un naturel assez sociable. C'est ce qui rends le voyage seul si intéressant ici : on rencontre facilement des gens, qui viennent sans complexe adresser la parole à un inconnu. L'exemple le plus frappant est le train, ou tout le monde parle à tout le monde. Passer 24 heures dans un train ici n'a rien d'ennuyeux (sauf si on est malade, mais c'est une autre histoire) !
Ajoutez à ça la curiosité en voyant un monocycle. Des gens viennent s'asseoire à ma table au « mess » pour me demander comment ça marche, je fais souvent le trajet chez-moi -> labo en discutant avec quelqu'un sur un vélo à deux roues. Les jours où je ne le prends pas, des fois, y'a des inconnus qui m'abordent et qui me demandent où est mon mono ! Bien sûr, y'en a souvent qui veulent essayer, mais bon, ça s'apprend pas en 5 minutes non plus ! Ça ne fait pas tout, mais c'est un excellent moyen d'engager une conversation.
Il a beaucoup amusé les enfants de Gopi, mais croyez moi, ça ne sont pas les seuls. Quand je me ballade en mono dans le campus, il ne passe pas 10 minutes sans que quelqu'un m'aborde d'un air curieux. En France, c'est systématiquement la blague de « Hé, il te manque une roue » (ou alors sa copine « T'as perdu ton guidon ! »). Ici, les gens me demandent tous où est le frein. Preuve irréfutable de la différence culturelle entre la France et l'Inde.
Les Indiens sont en général d'un naturel assez sociable. C'est ce qui rends le voyage seul si intéressant ici : on rencontre facilement des gens, qui viennent sans complexe adresser la parole à un inconnu. L'exemple le plus frappant est le train, ou tout le monde parle à tout le monde. Passer 24 heures dans un train ici n'a rien d'ennuyeux (sauf si on est malade, mais c'est une autre histoire) !
Ajoutez à ça la curiosité en voyant un monocycle. Des gens viennent s'asseoire à ma table au « mess » pour me demander comment ça marche, je fais souvent le trajet chez-moi -> labo en discutant avec quelqu'un sur un vélo à deux roues. Les jours où je ne le prends pas, des fois, y'a des inconnus qui m'abordent et qui me demandent où est mon mono ! Bien sûr, y'en a souvent qui veulent essayer, mais bon, ça s'apprend pas en 5 minutes non plus ! Ça ne fait pas tout, mais c'est un excellent moyen d'engager une conversation.